Compositeurs de renom, brillants éditeurs, fabricants de génie....la musique est à tous les niveaux et la vie tourquennoise regorge de surprises.
Albert Roussel
Panneau biographique_Albert Roussel
Gustave Charpentier
Panneau biographique Gustave Charpentier
Edmond Dierickx
Panneau biographique Edmond Dierickx
Jean-Louis Rosoor et ses descendants
Panneau biographique Jean-Louis Rosoor et descendants
Et les autres compositeurs
Sur cette image, l'industriel lainier Dewavrin, connu dans le monde musical et plus particulièrement en Argentine, sous le nom de Nirvassed.
Ci dessous, Yves Devernay devant ses orgues lors des semaines chorales organisées à Tourcoing dans les années 1980
Si la musique s’écoute, elle s’écrit avant tout. Le compositeur afin de se souvenir de sa création et l’interprète ont besoin de partitions. Il existe depuis la fin du 19ème siècle dans notre région de nombreux d’éditeurs de partitions. Quelques maisons importantes disposent d’un catalogue, mais la majorité sont de petits éditeurs qui n'éditaient que pour eux-mêmes ou parfois pour quelques connaissances.
Elements biographiques éditeurs
Acheter des partitions
Avant que les moyens techniques modernes ne permettent une écoute permanente et facile de la musique, les tourquennois sont très nombreux à pratiquer la musique et à chanter. Afin de profiter d’un air connu, il convenait d’en acheter la partition ou de se procurer un instrument. A Tourcoing, plusieurs magasins sont spécialisés dans les articles musicaux.
Le magasin Terrien 47 rue de Tournai
La maison Terrien s’occupe également de vendre des disques des pianos, des instruments et en assure la maintenance. Au début des années 1960, Gilbert Terrien quitte Tourcoing et installe son magasin sur la Grand Place de Lille sous l’enseigne « Tout pour la musique ».
Vanneufville-Jubé puis Struyve-Jubé 29 rue Saint-Jacques
A l’origine ce magasin est la succursale tourquennoise d’un marchand de musique et de pianos roubaisien Jubé-Hertoch. Noémie, une des filles d’Alphonse Jubé va gérer la boutique de la rue St Jacques en compagnie de son époux Léonce Vanneufville dont le père tient une pharmacie dans la même rue. Veuve, elle se remarie avec un négociant en laine propriétaire de la boutique de tailleur voisine, Olivier Struyve. Cette boutique proposait un large choix de partitions mais offrait également un service de billetterie.