Carte postale représentant la nouvelle Académie de musique, 17 mai 1909. Archives municipales de Tourcoing, Pg NC.
L’éducation musicale, d’abord prodiguée au sein des cathédrales au travers des maîtrises, s’est peu à peu propagée vers la société profane. En effet, les formations musicales s’ouvrent à un nouveau public grâce à l’emploi de professeurs particuliers et à la création d’académies royales puis d’écoles républicaines de musique. La constitution de ces dernières reste cependant très inégale et sans cohérence nationale
En 1881, la loi sur l’enseignement obligatoire et gratuit n’accorde pas de place particulière à la musique. Les maîtres non formés à cet art, n’enseignent que des chants aux enfants.
L’instruction générale publique est dissociée de l’éducation musicale dite spécialisée, celle-ci étant laissée à la bonne volonté des communes ou autres sociétés privées.
A Tourcoing, la fondation de l’école de musique est à l’initiative de la « Société Philarmonique de Tourcoing » qui, en 1840, recherche de nouveaux musiciens afin d’assurer la relève, mais sans succès. Monsieur Schmidt, alors directeur, propose de former, gratuitement pour les plus pauvres, des jeunes musiciens choisis parmi les élèves des Frères de la paroisse Saint-Jacques. Les musiciens amateurs s’engagent à organiser et à diriger l’école pendant un an sans rémunération. Leur but est de prouver l’utilité de la création d’une école de musique, mais devant l’atonie de la mairie, le projet est abandonné.
De l’Académie de musique au Conservatoire
Programme des morceaux exécutés lors de la distribution des prix du 11/08/1878.Archives municipales de Tourcoing, 2 R 3.
Création à l’école académique de musique de cours de solfège et de piano pour les demoiselles. Concours réservé aux dames pour les places de professeurs : 1885 : affiche et liste des candidates. Archives municipales de Tourcoing, 2R1.
Le 14 novembre 1842 est officiellement ouverte l’Ecole de musique de Tourcoing qui officiera dans la salle de l’estaminet l’Harmonie, rue des Orphelins. Seuls, les garçons y seront admis
dans un premier temps. Le 16 janvier 1843, malgré de mauvaises conditions d’accueil, l’école de musique, qui est gratuite, compte déjà 40 élèves. Elie Brun-Lavaine est nommé directeur.En 1880, trois sections sont ouvertes : les instruments à cordes, à vent en bois et à vent en cuivre.
Une fois par an a lieu une distribution des prix à l’hôtel de ville, ce qui est l’occasion de montrer les progrès des enfants.
Dans la séance du conseil municipal du 18 février 1885, à l’initiative de Gustave Dron et de plusieurs membres de l’assemblée, est proposée la création de cours de solfège et de piano pour les filles. Ces cours devront être dirigés par des dames recrutées sur concours. Les inscriptions ne se font pas attendre.
L’engouement pour l’art musical à Tourcoing ne se dément pas. Afin de pouvoir accueillir tous les aspirants dans de bonnes conditions, on construit, en 1890, sur l’ancien Conditionnement aux laines, à l’angle de la rue Desurmont et du square de l’Hôtel de Ville un bâtiment composé de deux parties distinctes, une section pour les demoiselles, l’autre pour les messieurs. La mixité n’étant pas d’actualité, les filles entreront par la rue Desurmont tandis que les garçons prendront l’entrée du square.
Archives municipales de Tourcoing, 2R1.
Entre 1895 et 1921, de nouvelles classes sont créées : classes de basson, de chant hommes, d’harmonie, de piano, de musique de chambre, cours préparatoires et élémentaires au solfège. Par ailleurs, le quartier du Blanc Seau, plus éloigné de l’Académie, bénéficie de la création de cours de solfège gratuits pour les jeunes filles.
En 1923, l’Académie de musique devient Conservatoire de musique, succursale de Paris.
En 1927, l’école compte 543 élèves. Elle œuvre à la reconnaissance de la qualité de l’enseignement qu’elle procure tout en poursuivant son chemin vers l’autonomie de son offre pédagogique. Ainsi, afin de compléter la formation des meilleurs instrumentistes est créée une classe d’orchestre, nécessaire au répertoire symphonique et complément indispensable à la professionnalisation des élèves.
Lauréats du Conservatoire Vendredi 8 juillet 1927 : les lauréats du conservatoire de Tourcoing ; de gauche à droite : 1er rang : Mme Myriani Florin (solfège), Lucie Lecafette (piano), Marcelle Clerson (alto), Marthe Tournoys (solfège) ; 2ème rang : Mr Maurice Maquet (solfège), Arsène Terrier (trompette), Charles Duquesnoy (chant). Photographie René Eblagon. Archives municipales de Tourcoing, Fi NC.
Petit à petit, l’enseignement s’étoffe.
En 1971, une classe de carillon, d’abord sous la direction de Jacques Lannoy puis de Michel Godefroy, est ouverte. Les cours ont lieu au clocher de Saint-Christophe. Les élèves débutent leur apprentissage vers 11 ou 12 ans, selon leur taille.
En 1973 est créée une classe de danse à 16 heures par semaine.
La chorale du conservatoire, créée depuis mars 1988 est un chœur mixte de 100 choristes. Son objectif est de participer à toutes les manifestations culturelles, dont les « semaines chorales de Tourcoing » en proposant des œuvres classiques écrites pour chœurs et orchestres.
Les jeunes musiciens, s’ils montrent des dispositions peuvent aussi rejoindre deux orchestres (l’orchestre des jeunes élèves et l’orchestre des cadets du conservatoire, élèves de haut niveau) leur permettant ainsi l’apprentissage de la musique d’ensemble. Créé par Bruno Membrey, l’orchestre des jeunes talents compte 70 jeunes du Conservatoire. Il donne des représentations en concert, accompagne les chorales et les opéras, les solistes.
Classe d’harmonie, SD. Archives municipales de Tourcoing, 451W.
Jacques Lannoy, maître carillonneur devant son clavier. Archives municipales de Tourcoing, 114Z71.
Flyer, octobre musical de Carthage du 2 au 22 octobre 1998, déplacement des élèves en Tunisie. Archives municipales de Tourcoing, 222W35.
A ces cours, sous l’impulsion d’Hugues Rousé et de Xavier Van Rechem, on adjoint en 1997 une classe de jazz. Ce genre musical depuis longtemps à l’affiche crée de nouvelles aspirations exacerbées par la programmation du Tourcoing Jazz Festival.
Par ailleurs, des classes à horaires aménagées (CHAM) sont créées comme à l’école Maurice Bonnot et au collège Marie-Curie.
L’éducation nationale met en place des diplômes de niveau BAC option musique ou technicien de la musique.
Les conservatoires dont le but est de découvrir et d’encourager les jeunes vocations sont aux premières loges pour relever ces défis tout en préservant la pratique amateur de la musique.
L’enseignement de la musique dans les sociétés instrumentales
Pendant longtemps les sociétés musicales ont formé leurs harmonistes au sein même de leurs groupes. Bénévoles, les musiciens prenaient sur leur temps libre, pour enseigner la musique. Toutefois, ces associations perdent peu à peu leur monopole d’apprentissage lorsque les conservatoires s’établissent sur leur territoire, la musique populaire s’opposant à la musique savante.
Bien que des passerelles soient aménagées entre les deux entités, les harmonies sont de plus en plus confrontées à une baisse des effectifs, la relève n’est plus assurée.
Tourcoing n’échappe pas à la règle, plusieurs ensembles musicaux ont déjà jeté l’éponge. C’est dans ce contexte qu’en 1985, la municipalité crée et finance, une école de musique qui leur est dédiée. L’Union tourquennoise pour l’Ecole de Musique (UTEM) située au 125 rue de Courtrai a pour objectif de faire découvrir la musique à tout âge et dans tous les quartiers pour, à terme, permettre de compléter les pupitres des associations.
L’établissement gère la partie administrative des harmonies de la Croix-Rouge, du Blanc Seau, Charles Dhérin, la Batterie fanfare et le Groupe musical.
A cette fin, elle organise gratuitement des cours de solfège et de pratique instrumentale. Les élèves s’inscrivant au sein de chaque groupe, s’engagent à y entrer ensuite.
Les cours ont lieu dans les locaux mêmes des sociétés. Les débutants peuvent s’initier à l’instrument de leur choix après 3 mois de présence. La troisième année, les élèves rejoignent l’harmonie.
Cette mutualisation des moyens se rencontre également dans le Groupe musical, nom qui rassemble, en 1934, l’Harmonie des Amicales laïques, les Fifres Scolaire et la Clique Scolaire. Cette dernière, devenue Batterie Fanfare, se désolidarise en 1991 du Groupe musical.
« L’Harmonie des Amicales Laïques » est fondée le 15 mai 1930. Son but est de développer l’art musical populaire. A cet effet, elle organise des cours de solfège et d’instruments.
Elle participe aux défilés accompagnée des Fifres scolaires lors des fêtes de quartiers, de la Sainte Cécile ou rehausse de sa présence les cérémonies municipales.
Programme du concert d’hiver des écoles de la Fédération des Amicales Laïques, 1931.Archives municipales de Tourcoing, 6Z10.
Créée peu avant la Première Guerre mondiale, la société des fifres scolaires a pour but d’inculquer le goût de la musique aux jeunes. Disparue pendant la guerre, elle se reconstitue en 1926.
Les Fifres Scolaires de Tourcoing, vers 1929. Archives municipales de Tourcoing, NC.
D’abord orientée vers les marches militaires pour les défilés, la société se tourne ensuite vers l’initiation musicale, tout en constituant un répertoire d’harmonie. L’objectif est de procurer aux enfants un moyen de s’exprimer au travers de la musique par l’apprentissage du solfège et d’un instrument de musique.
Les musiciens sont divisés en deux sections : les débutants et les autres, capables de se produire. Le travail des premiers, à raison de 2 heures par semaine, est axé sur le son, le tempo, le rôle du chef, l’écoute de soi et des autres.
Défilé des Fifres Scolaires, quartier Blanc Seau, 16 juin 1974. Archives municipales de Tourcoing, NE bte 102.
C’est par un décret de 1882, que les bataillons scolaires sont intégrés à l’enseignement général. L’objectif est d’apprendre aux élèves, les bases de l’instruction militaire, et notamment les chants patriotiques et la formation aux défilés.
Ces ensembles disparaîtront peu à peu ou se transformeront en associations.
Le bataillon scolaire de Tourcoing est fondé le 28 juin 1900 par la Caisse des écoles. Le recrutement des élèves a lieu grâce aux enseignants, dans les écoles communales. Son siège, d’abord situé à l’école de garçons de la rue du Calvaire est transféré en 1927, rue Fin de la Guerre où le bataillon prend le nom de Clique scolaire.
Son but est de « former des tambours, clairons, trompettes et cor de chasse, faire des hommes forts et préparer au service militaire » et de rehausser toutes les manifestations municipales. Leur devise est « Pro Patria ».
Leur premier uniforme, obtenu en juillet 1903, était constitué d’un costume de marin comme on peut le voir sur la peinture murale, de Gustave Grau, intitulée « Tourcoing en fête » installée dans la salle du conseil municipal.
Tableau de Gustave Grau, défilé de la clique scolaire lors de la visite du Président Fallières, en 1906. Archives municipales de Tourcoing, 151Z.
La clique scolaire en 1906. Archives municipales de Tourcoing, NE bte 101.
Cinquantenaire de la clique scolaire, 8-10 juillet 1950 : livret. Achat Molissak, avril 2006. Centre d’histoire locale de Tourcoing, 24.1
En 1971, la société prend le nom de « Batterie fanfare scolaire ». Elle se désolidarisera du Groupe musical en 1991.
Affiche Batterie Fanfare Scolaire, première audition de la sainte Cécile, FI NC.
Les classes spécialisées
Éduquer culturellement les acteurs de demain tout en valorisant les structures dédiées est la démarche engagée, depuis presque 50 ans, par la ville en faveur des petits Tourquennois scolarisés.
C’est ainsi que dès 1975, des sections musicales, en partenariat avec le conservatoire de musique, sont ouvertes à l’école Maurice Bonnot. A partir du CP, les élèves, s’ils le désirent, bénéficient, à raison d’une à deux heures par semaine, d’éveil musical avec des professeurs du conservatoire et de chant choral, d’écoute et d’analyse d’œuvres et d’histoire de la musique avec leurs instituteurs. Répartis en 3 classes, 75 musiciens en herbe découvrent la musique, prélude à de futures vocations. En 1976, le projet se poursuit vers les classes de CE1, dont les élèves démarrent l’apprentissage d’un instrument, puis en 1977, vers les primaires et le collège Marie Curie.
Le principe des sections musicales perdure au fil des ans et prend à partir de 2010, le nom de CHAM (classes à horaires aménagés musique). Le but est de permettre aux élèves la poursuite d’une scolarité classique tout en développant des compétences musicales affirmées. L’enseignement musical est divisé en deux parties : l’éducation musicale générale, technique et vocale ainsi que la formation musicale, instrumental et la pratique collective au conservatoire.
Disque vinyle : chorale du collège Marie Curie, ensemble vocal des classes musicales de Tourcoing, chorale du conservatoire de Tourcoing, S.D., Centre d’histoire locale, 24.12
La musique à l’école, se développe à travers d’autres vecteurs qui incitent les jeunes à la découverte. Dans les années 1990, le dispositif « Culture à l’école » propose la mise en place d’une saison culturelle pour les enfants scolarisés des communes de Tourcoing et Neuville-en-Ferrain. Cirque, musique(s), chant, conte et théâtre musicaux, opéra… permettent aux écoliers de goûter aux joies de la culture.
Flyer et photographie du spectacle de Gibus proposé en janvier 1992-1993, dans le cadre du programme culture à l’école, D.R. Archives municipales de Tourcoing, 111W1.
Culture à l’école, programme en faveur des écoliers, 1986-1987, Archives municipales de Tourcoing, 125W1.
En 2010, dans le cadre du Plan de Développement social pour la population porté par la ville, chaque enfant doit notamment, pouvoir pratiquer un instrument de musique et participer à un parcours culturel ou citoyen. Le projet éducatif Global « Pegase » est le cadre de référence dans lequel s’inscrivent les acteurs éducatifs. La pratique de la musique en est une des composantes essentielles ambitionnant son accès à tous les enfants.
Des pôles d’excellences labellisés sont produits dont les arts visuels, le théâtre et la culture. Celui de la musique est établi à l’école Bonnot, au collège Marie Curie et au Lycée Gambetta.
A cet effet, des DUMISTES (médiateur ayant le Diplôme Universitaire de musicien intervenant ou DUMI) sont embauchés. Ils conçoivent avec les équipes éducatives des interventions en relation avec le projet d’école.
A l’école, comme dans le reste de la société, la musique est omniprésente. De nombreuses chorales, et orchestres scolaires existent dans le paysage culturel Tourquennois.
Pochette de disque vinyle : manécanterie des petits chanteurs de Saint-Louis de Tourcoing, en collaboration avec le lycée EIC et le collège Charles Péguy, Centre d’histoire locale, 24.12
Les cours de musique : deux exemples, l’EF2M et le cours Candelier.
La pratique et l’apprentissage de la musique dans les foyers se développe dès le XIXème siècle, essentiellement dans les milieux bourgeois. Ces cours particuliers viennent en complément des leçons proposées par le Conservatoire ou au sein des différentes écoles de la ville, comme l’Institut du Sacré-Cœur qui a entendu les premières notes d’Albert Roussel.
Anciens et modernes : journal musical mensuel, avril 1896. Directeur Louis Rosoor, Centre d’histoire locale 24.2.
Ecole de formation aux métiers de la musique (EF2M)
Création : 4 novembre 1994
Siège : 12bis sur du Moulin Tonton.
Le centre bénéficie de 2 ateliers de répétitions, de 7 salles de cours d’un grand auditorium et d’un atelier de musique assistée par ordinateur.
Un parcours professionnel pour les musiciens expérimentés ou en devenir ainsi qu’un cursus pour amateur (depuis 2000), sont proposés.
Les classes d’instruments concernant six disciplines, batterie, basse, guitare, clavier, chant, cuivres et bois nécessitent un minimum de bagage musical.
Les élèves accèdent à l’enseignement professionnel après un concours d’entrée. A son issue, l’étudiant est orienté soit en niveau préparatoire soit supérieur ce qui permet de lui proposer des cours adaptés selon les matières étudiées.
L’établissement reçoit entre 30 à 50 élèves par an pour un parcours qui peut atteindre 2 ans. Le succès aux examens du cycle préparatoire est nécessaire pour passer au degré supérieur. L’établissement permet l’accès au diplôme de musicien interprète des musiques actuelles (MIMA).
L’instruction est divisée en trois groupes, pratique instrumental, théorique et contexte professionnel qui sont eux-mêmes scindés en modules. Elle appréhende tous les aspects du métier de la musique, de la scène, en solo ou avec orchestre, à l’enregistrement en studio en passant par l’organisation de concerts.
Affiche, 2006. Archives municipales de Tourcoing, Fi NC.
Les élèves peuvent d’ailleurs profiter du matériel et de l’expertise de Feeling Studio qui se trouve dans les mêmes locaux que l’école.
Feeling studio, Label Ville n°44, mai-juin 1997, Archives municipales de Tourcoing, série JM.
Album enregistré par la promotion EF2M 2005-2006, médiathèque André Malraux.
Des artistes reconnus, invités en master-class font également profiter les élèves de leur expérience au cours d’une journée où leçons d’instrument, débat et concert sont au rendez-vous. De plus l’école, en organisant des manifestations, sollicite les élèves qui sont de ce fait mis en condition réelle de travail.
Par ailleurs, un partenariat avec le studio Feeling, situé à côté de l’école, permet aux élèves d’élaborer leur premier enregistrement.
Masterclass Franck Gambale prévue le 12 mars 2020 à l’EF2M dans le cadre de sa tournée européenne. http://www.ef2m.com/
Le cursus pour les amateurs ouvre ses portes à un public plus large. En collaboration avec la ville des cours collectifs de pratique instrumentale, guitare, piano, basse, chant et batterie sont donnés par des musiciens professionnels. Dès 8 ans et avec un engagement pour 30 séances d’une heure par semaine, les élèves apprennent en s’amusant selon leurs niveaux.
Les cours Candelier
En 2004, Irène Candelier, chanteuse lyrique, crée des cours de musique chez ses parents. Le succès ne se fait pas attendre et la maison familiale ne suffit plus à recevoir tout le monde. C’est ainsi qu’un local dédié voit le jour au 4 place de la République.
En 2009, sa soeur Mathilde, reprend le flambeau et gère le local à l’arrière tandis qu’Irène poursuit sa carrière et crée « l’Ensemble vocal Orphée ».
L’établissement reçoit aussi bien les adultes débutants que les musiciens en demande de soutien ou non acceptés dans les écoles de musique municipales, régionales ou nationales.
De plus, dès l’âge de 4 ans, on peut s’initier aux instruments, aux notes, aux rythmes ou découvrir l’opéra.
Au début, l’apprentissage n’abordait que le piano et la guitare auxquels ont été adjoint peu à peu tous les autres instruments. Le solfège est appris en même temps que la pratique instrumentale ce qui rend plus attractif et concret cet enseignement.
Le cours Candelier proposent même un stage avec le très réputé Simon Fache, ancien élève du conservatoire de Tourcoing :